Vélos ville électriques Mis à jour le 20 mai 2024

Test – Winora iRide Pure, un vélo électrique simple et plein de qualités qui se cherche un peu

Joli vélo de ville prêt à affronter les déplacements quotidiens, l’iRide Pure de Winora adopte une approche minimaliste. Un vélo plein de qualités dont la vivacité est tempérée par une position de conduite sans doute un peu trop sage. Explications.

Pour

  • Pneus très satisfaisants.
  • Moteur dynamique à rouler et silencieux.
  • Vélo rassurant au comportement très sain.
  • Plutôt confortable et poids raisonnable.
  • Freinage efficace.
  • Transmission adaptée et polyvalente.

Contre

  • Position détendue qui tranche avec le tempérament du vélo.
  • Porte-sacoche limité.
  • Garde-boue avant un poil court.
  • Pas d’œillet sur le cadre.
  • Charge complète assez longue.
7.5

Winora livre un bon vélo avec son iRide Pure. Un vélo de ville équilibré, équipé, plaisant à rouler avec des efforts faits sur la partie confort (tige de selle suspendue, amortisseur de fourche). Il a un comportement très sain et rassurant sur la route, en plus d’adopter un couple moteur/transmission plein de tempérament. Dommage finalement que la position de conduite soit celle d’un vélo plus sage et pépère, nous faisant regretter un parti pris qui aurait pu être un peu plus sportif.

Présentation

Winora est un fabricant de vélo allemand qui existe depuis 1914, appartenant aujourd’hui au groupe néerlandais Accell aux côtés de marques telles que Haibike, Batavus, Ghost, Raleigh, Lapierre, Carqon ou encore l’équipementier XLC. L’iRide Pure est son dernier vélo urbain électrique.

Le vélo est décliné en deux formes de cadres (haut ou mid) et deux transmissions (dérailleur Shimano Cues 10 vitesses ou courroie Gates et moyeu Shimano Nexus 5). Il vient compléter une gamme par ailleurs surtout composée de vélos de ville électriques plus imposants à suspension avant, ou rigides mais à moteur arrière. Sa particularité est d’embarquer le dernier né des moteurs pédaliers de Bosch, le Performance Line SX, un bloc plus léger au tempérament sportif.

Bien qu’annoncé à des tarifs de 3000 et 3600 € lors de sa présentation, il est actuellement vendu 3400 € dans sa version à chaîne et 4000 € dans sa version à courroie. Cet iRide Pure se positionne donc comme un vélo premium qui va être en concurrence avec des modèles tels que le Lundi 27 de Moustache ou le Culture de Riese & Müller, voire le tout récent Diem d’Orbea ou encore – dans un style un peu différent – le Vado SL de Specialized.

Confort

On l’a dit, l’iRide Pure se décline en deux cadres. L’un dit « mid » et l’autre « high ». En réalité, la hauteur d’enjambement est quasi identique sur les deux modèles mais la forme de cadre va légèrement jouer sur la géométrie du vélo, plus haut et plus adapté aux grands gabarits dans sa version « high ». Sur cette dernière, le reach va en effet être plus prononcé et le tube de direction allongé, ce qui n’est pas anodin sur un vélo dénué de réglage au niveau de la potence.

Chacune de ces versions est déclinée en quatre tailles, pour convenir aux cyclistes allant de 155 à 197 cm en « high » et de 145 à 187 cm en « mid ». Notre modèle de test est une version haute en taille L, convenant parfaitement à mes 185 cm.

D’emblée, on constate les efforts faits par Winora pour proposer un vélo épuré et minimaliste. L’idée, clairement, était de profiter de la discrétion du moteur Performance Line SX et de sa batterie de 400 Wh affinée pour alléger au maximum le dessin du vélo et gommer certains signes distinctifs des vélos électriques. Tout de rouge et noir vêtu, notre modèle assume un coloris vif malgré sa recherche de sobriété. Le vélo est élégant. Il laisse une très bonne impression de sérieux et de robustesse à la manipulation.

Il est monté sur un cadre en aluminium associé à une fourche rigide elle aussi en aluminium. Pour améliorer son confort, il mise essentiellement sur trois points : le montage de pneus ballons à gros volume d’air, la présence d’une tige de selle suspendue et l’intégration d’une mini suspension de type headshock à l’avant. Trois éléments qui rendent en effet l’iRide Pure plutôt agréable à rouler et sont, selon nous, suffisants pour rendre le vélo bien assez confortable en ville.

La tige de selle Satori à suspension tout d’abord, qui permet d’atténuer les chocs que l’on peut parfois prendre dans le bas du dos et apporte un peu de moelleux à l’assise alors que la selle X-Bow de Selle Italia en manque, elle, légèrement.

La petite suspension avant ensuite, elle qui est quasi invisible et parfaitement intégrée, tout en offrant un petit débattement de 25 mm. Ce n’est pas beaucoup, mais cela permet de filtrer en partie les pavés et alléger les passages de trottoirs, tout en ayant l’avantage de ne demander aucun entretien. Ce système ne souffre pas d’effet de pompage et permet également de conserver une direction dynamique. En revanche, son confort reste inférieur à celui procuré par une véritable fourche suspendue.

Les pneus, enfin, jouent pleinement leur rôle. Il s’agit de Continental Contact Urban en 27,5″ qui font 62 mm de section (62-584). Des pneus de grande qualité qui nous ont convaincu tout au long de ce test mené sur plusieurs semaines. Outre leurs flancs réfléchissants et leur robustesse (ils disposent d’un renfort anti-crevaison composé de trois nappes 60 TPI), on a beaucoup aimé leur profil : silencieux et très roulant sur la bande centrale, rainurés et perforés en s’écartant du centre. Gonflés à la bonne pression, ils rendent le vélo précis, absorbent très bien les aspérités de la chaussée, sont à leur aise en courbe avec un excellent grip et participent à des freinages efficaces, y compris sur sol humide.

Tout ceci fait que ce vélo de ville a des qualités un peu sportives qui collent assez bien aux velléités de son moteur. Paradoxalement, on trouve une position assez haute, plutôt droite et détendue sur l’iRide Pure, plus proche du vélo hollandais (avec son grand cintre courbé) que du vélo de fitness. Un entre deux pas évident à juger. On y revient.

Performances

En choisissant de motoriser son iRide Pure avec le Bosch Performance Line SX, Winora a bien évidemment fait un choix visant à réduire le poids de son vélo. Pesé à 23,5 kg par nos soins dans cette taille L, il est effectivement un peu plus léger qu’un Moustache Lundi 27 (autour des 25 kg) et d’un poids à peu près équivalent au Riese & Müller Culture avec lequel il partage sa partie électrique. Un poids qui rend les manipulations du vélo un poil plus faciles (ne serait-ce que pour le porter le temps de monter quelques marches) et qui participe à son comportement sur la route.

On le sait, le Perf Line SX est un moteur plutôt sportif qui aime le pédalage en cadence. En effet, il délivre le meilleur de lui-même lorsque l’on pédale autour des 80 tours / minute, là où le couple supérieur d’un Performance Line CX (75 Nm contre 55 Nm sur le SX) permet de se reposer beaucoup plus sur le moteur. C’est grisant car on a cette impression de faire véritablement du vélo, mais on va davantage conseiller ce genre de vélos à des personnes habituées à jouer correctement avec leurs vitesses et à pédaler à bon rythme.

Nous sommes d’ailleurs très heureux d’avoir pu tester la version dérailleur du iRide Pure (baptisée « X10 »), mode de transmission qui permet de profiter de changements de braquets assez vifs avec 10 vitesses pour avoir une bonne amplitude et gagner en polyvalence. Rien à dire du côté de la transmission Shimano Cues qui fait honorablement le job, sur la base d’un plateau 40 dents et d’une cassette 11-48. On jouit d’une très bonne polyvalence, de changements de vitesses fiables et souples, tandis que la technologie Linklide est censée apporter une meilleure durabilité.

Pour avoir pu essayer le vélo en courroie avec le moyeu Nexus 5 (modèle « R5F »), nous trouvons que c’est un choix qui sera plus judicieux pour l’entretien, mais sans doute moins pour l’agrément de pédalage. En effet, avec seulement 5 rapports, on a forcément un peu plus de mal à conserver une cadence homogène et on regrette un comportement un peu plus mou.

Tout ça pour dire que sur la selle de cet iRide Pure, on a entre les jambes une machine qui nous invite à nous amuser, y compris sur les trajets quotidiens un peu ronronnants. On ressent très bien le caractère joueur du moteur. On profite d’un vélo au comportement très sain sur la route, très rassurant entre son excellente assise et ses très bons freins hydrauliques Shimano à 2 pistons, avec une bonne dose de dynamisme malgré tout, ce qui est aussi plaisant qu’étonnant. Seul dilemme, la position – confortable – que l’on trouve sur le vélo invite plus à la paresse, à la sagesse, aux déplacements « à la cool ».

Si bien que l’on est un peu tiraillés entre l’envie d’en mettre un peu plus dans les pédales et celle de se laisser gentiment emmener par le moteur. Un moteur qui, bien sûr, est suffisamment puissant pour affronter sereinement toutes les cotes qui s’annoncent. De quoi avaler au-delà des 20 km/h des portions à 8/10 %. Il suffit d’anticiper un peu, mettre un coup de gâchette pour perdre deux vitesses et profiter de l’entrain du moteur qui va accompagner avec volonté toute bonne rotation des jambes. Eh oui, il faut faire un minimum d’efforts pour être récompensé avec ce Perf SX.

A condition d’apprécier ce comportement, c’est également un plaisir au démarrage ou en relance. En départ arrêté, on arrive en quelques passages de vitesses aux 25/26 km/h, vitesse à laquelle se coupe l’assistance, et il suffit d’en remettre un peu dans les pédales dès qu’on souhaite se relancer pour retrouver très aisément cette vitesse de croisière.

A noter que Bosch a fait un travail spécifique visant à réduire le frottement du moteur sur le Performance Line SX, de sorte à ce que l’on soit moins pénalisé lorsque l’on souhaite pousser le vélo au-delà des limites de l’assistance. Cela se ressent effectivement et il est possible d’emmener sans trop d’efforts supplémentaires le vélo autour des 30 km/h sur le plat. Au-delà de cette vitesse, ça se complique quand même beaucoup et le surcoût en énergie dépensée n’est plus rentable. Dernier point à évoquer : la grande discrétion de ce moteur dont le silence est un des points forts.

Equipement

La sobriété du vélo se retrouve jusqu’au niveau de son cintre dénué d’écran, avec la présence d’une simple Mini Remote de Bosch venant compléter le System Controller intégré au tube supérieur. Un duo qui permet d’accéder à tous les réglages et informations de base en roulant, tout en restant aussi simple que minimaliste. Sans écran, on va davantage se concentrer sur le pilotage et l’on prend de toute manière très vite ses habitudes sur le vélo, ce qui fait que l’on va naturellement jouer entre les modes d’assistance si nécessaire et vérifier l’état de sa batterie sans la moindre difficulté.

Malgré tout, qui dit dernier moteur et commandes de dernière génération chez Bosch dit, évidemment, compatibilité avec le Smart System. Un système intelligent qui se matérialise par une application de plus en plus complète, offrant des fonctions telles que la navigation, le paramétrage complet des modes d’assistance du moteur ou encore la fonction eBikeLock de verrouillage numérique du moteur pour lutter contre le vol.

Pour autant, Winora n’intègre pas – de série – le Connect Module à son iRide Pure. Ce qui veut dire que la fonction eBike Alarm n’est pas proposée. Cette dernière nécessite en effet la présence d’un module GPS dans le vélo pour pouvoir détecter ses mouvements suspects et autoriser la géolocalisation afin de le retrouver en cas de vol. Les utilisateurs souhaitant profiter de cette fonction payante (elle nécessite un abonnement à Flow+) devront donc faire installer le fameux module.

La motorisation permet de paramétrer 4 modes d’assistance. Le mode Eco est là pour compenser le poids du vélo et il fait même en réalité un peu mieux que ça. A condition de pédaler en cadence et éventuellement monter d’un cran ou deux l’aide au démarrage ou la puissance en cote, on profite d’un mode Eco pleinement utilisable en conditions réelles, ce qui permettra de maximiser l’autonomie du vélo.

Le mode Tour+ au fonctionnement adaptatif permet de moins se préoccuper de l’assistance et laisser le vélo gérer la puissance à insuffler au pédalage en fonction des situations. C’est un mode qui fonctionne bien, très agréable au quotidien lorsque l’on ne veut pas se prendre la tête tout en profitant d’un agrément sympathique et d’une autonomie allongée.

Viennent ensuite les modes Sprint et Turbo qui facilitent grandement le pédalage, permettent de rouler chargé en cote sans s’essouffler et griller au démarrage la plupart des autres cyclistes après un feu. Ce sont, sans surprise, les modes dans lesquels le vélo fait oublier son poids et devient le plus dynamique à piloter tant tout devient facile. L’autonomie s’en trouve forcément réduite, mais quiconque recharge régulièrement son VAE et n’a pas besoin de jauger sa dépense énergétique aurait tort de bouder son plaisir.

Comme on le disait, les modes proposés de base peuvent dorénavant être modifiés par l’utilisateur sans intervention d’un vélociste, simplement en réalisant les changements dans l’application Flow. Chacun des modes choisi peut, ensuite, être paramétré selon différents critères (couple max, dynamique, assistance, vitesse max).

On l’a dit, le vélo est dépourvu d’écran. Un support SP Connect livré avec le vélo (mais non monté sur notre modèle de test) facilitera l’utilisation de son smartphone comme ordinateur de bord. Dommage, aucun port USB n’est proposé. Ceux qui le souhaitent pourront faire monter un SmartphoneGrip pour profiter de la charge par induction et du couplage des commandes. En roulant, le « Ride Screen » de l’application permet de profiter de la navigation GPS tout en ayant sous les yeux toutes les informations liées à son activité (vitesse, distance, dénivelé, cadence, mode d’assistance, autonomie restante, etc.).

A l’usage, c’est assez plaisant d’avoir le choix entre utiliser ce VAE sans aucun écran, notamment sur les trajets que l’on connaît, mais pouvoir tout de même profiter de toutes les données et de la navigation en utilisant son téléphone lorsque l’on part en balade ou l’on a besoin d’être guidé.

Pour en revenir à cet iRide Pure en lui-même, il faut signaler que l’on est en présence d’un vélo bien équipé pour faire face au quotidien. On y trouve des garde-boues joliment travaillés et enveloppants qui permettent de rouler sereinement sous la pluie ou dans les flaques, même si quelques centimètres (ou une petite bavette) manquent à l’avant afin de mieux protéger le bout des chaussures.

A l’arrière, le garde-boue est parfaitement intégré avec le porte-sacoches pouvant soutenir jusqu’à 10 kg. C’est un bon point pour le look du vélo, mais cet élément sera un peu plus problématique pour les utilisateur souhaitant pouvoir charger davantage leur vélo à des fins utilitaires. On ne pourra pas, par exemple, directement adapter de siège enfant dessus.

L’éclairage est connecté à la batterie du vélo. Le feu arrière Buchel Nano COB intégré au garde-boue propose la fonction feu stop (il s’allume lorsque l’on freine). Un « phare » Litemove AE-110 orientable est monté à l’avant. Ce dernier projette un faisceau assez large et puissant avec 550 lumens (110 lux) grâce à 2 leds haute intensité, c’est suffisant pour être bien vu et éclairer la route devant soit même lorsqu’il fait assez sombre et que l’éclairage public est faible. Des feux dont l’allumage se fait directement depuis la commande Mini Remote.

La chaîne est légèrement protégée au niveau du pédalier par un petit carter rond tandis que la béquille arrière facilite les maoeuvres du vélo. Une petite sonnette très discrète trouve sa place sur la droite du cintre, à portée de pouce. Les pédales montées de base sont adaptées à la ville, il s’agit de pédales plates recouvertes d’un grip qui fait relativement bien son travail peu importe les chaussures que l’on porte.

En revanche, on ne trouve aucun œillet sur le cadre du vélo pour venir y monter un porte-bidon ou un antivol pliant. C’est dommage. Il y a juste de quoi venir monter un antivol de roue de type fer à cheval.

Terminons par un mot sur les finitions du vélo, qui sont très bonnes. Winora nous a habitué à un bon standing en la matière et l’assemblage du vélo inspire confiance et la peinture laquée a l’air résistante. Les soudures ne sont pas totalement lissées mais se font tout de même assez discrètes pour ne pas gâcher les lignes du vélo.

Autonomie et charge

On l’a dit, Bosch a imaginé une nouvelle batterie plus compacte pour accompagner son moteur Performance Line SX. La CompactTube 400 pèse 2 kg (comme le moteur) et offre une capacité de 400 Wh.

Cachée derrière un capot facile à retirer et protégée par une serrure à clé, cette batterie est équipée d’une sangle qui facilite son retrait et son transport. Elle peut donc être embarquée avec soi et rechargée à distance du vélo, sachant que le cadre dispose également d’un port de charge et que le vélo peut ainsi être directement branché au secteur.

C’est original mais Winora n’annonce pas d’autonomie minimale ou maximale sur la fiche produit de son iRide Pure. Si la capacité de la batterie n’est pas énorme, Bosch annonce avoir œuvré pour assurer une autonomie correcte en réduisant la consommation de son moteur. Bien entendu, nous avons testé l’autonomie de ce vélo sur plusieurs cycles de charge et différentes typologies d’utilisation.

En utilisant uniquement le mode Turbo qui est le plus consommateur d’énergie et en veillant à ne pas sortir de la plage de fonctionnement de l’assistance, nous avons pu rouler exactement 1h59 sur une charge complète et réaliser un parcours de 42 km principalement plat (250 mètres de dénivelé positif). On peut donc considérer que c’est le rayon d’action minimal du vélo, sachant qu’il est possible de faire beaucoup plus.

En effet, sur un autre cycle, en utilisant essentiellement le mode Eco avec quelques passages en Sprint pour se faire plaisir et avaler les cotes, sans s’empêcher de pédaler au-delà de l’assistance quand le cœur nous en disait, nous avons parcouru un peu plus de 73 km. Pas mal.

Quant à la phase de recharge, elle reste assez longue avec le chargeur 2 A qui est fourni, soit quasiment 5h30 pour passer de 0 à 100 % de charge.

Conclusion

Pour

  • Pneus très satisfaisants.
  • Moteur dynamique à rouler et silencieux.
  • Vélo rassurant au comportement très sain.
  • Plutôt confortable et poids raisonnable.
  • Freinage efficace.
  • Transmission adaptée et polyvalente.

Contre

  • Position détendue qui tranche avec le tempérament du vélo.
  • Porte-sacoche limité.
  • Garde-boue avant un poil court.
  • Pas d'œillet sur le cadre.
  • Charge complète assez longue.

Note

7.5

Winora livre un bon vélo avec son iRide Pure. Un vélo de ville équilibré, équipé, plaisant à rouler avec des efforts faits sur la partie confort (tige de selle suspendue, amortisseur de fourche). Il a un comportement très sain et rassurant sur la route, en plus d'adopter un couple moteur/transmission plein de tempérament. Dommage finalement que la position de conduite soit celle d'un vélo plus sage et pépère, nous faisant regretter un parti pris qui aurait pu être un peu plus sportif.

Confort
7.5
Performances
8
Equipement
7
Autonomie
7.5

Caractéristiques

  • Prix
    3400 €
  • Cadre

    Haut

  • Matériau cadre
    Aluminium
  • Fourche

    Accell Headshock 25 mm

  • Position moteur
    Central (pédalier)
  • Moteur
    Bosch Performance Line SX
  • Couple moteur
    55 Nm
  • Capacité batterie
    400 Wh
  • Diamètre de roue
    27.5"
  • Diamètre roue arrière
    27.5"
  • Pneus

    Continental Contact Urban 62 mm

  • Type de freins
    Disque hydrauliques
  • Freins
  • Vitesses
    10
  • Dérailleur arrière
  • Tige de selle

    Satori Suspension

  • Tige de selle suspendue
    Oui
  • Selle

    Selle Italia X-Bow

  • Garde-boue
    Oui
  • Antivol de cadre
    Non
  • Porte-bagage
    Oui
  • Poids
    23 kg
  • Eclairage arrière

    Buchel Nano COB

  • Eclairage avant

    Litemove AE-110


En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.