Vélos ville électriques Vélos ville Mis à jour le 17 octobre 2024

Test – Cowboy Cruiser ST, un bon compagnon tout en simplicité pour la ville

Vélo électrique urbain et connecté, le Cruiser ST de Cowboy mise sur des déplacements sans prise de tête. Il propose ainsi une position détendue et un écosystème à l’image du vélo : simple et efficace. Suffisant pour nous convaincre ? Réponse dans ce test.

Pour

  • Design minimaliste réussi.
  • Vélo moderne et connecté très simple à utiliser.
  • Confort très correct.
  • Assistance électrique réactive et dynamique.
  • Maniable et plaisant à piloter.
  • Entretien et durabilité de la courroie.
  • Bonne autonomie.

Contre

  • Garde-boue avant trop court.
  • Porte-bagages en option.
  • Eclairages perfectibles.
  • Absence d’œillets.
  • Batterie encombrante.
7

Le Cowboy Cruiser ST est un vélo sur lequel nous avons apprécié nous déplacer. Très simple à prendre en main, il reste fun à rouler malgré son accessibilité, surtout en ville où l’on peut mettre à profit sa bonne maniabilité et le dynamisme que lui confère son assistance électrique. Son application est un point fort car tout y est très clair et fonctionne comme attendu. Joli, très épuré, minimaliste, c’est un compagnon agréable pour les déplacements quotidiens en ville, y compris pour les cyclistes débutants. Dommage qu’il soit assez cher (encore plus avec ses options), et que ce positionnement premium ne se retrouve pas forcément dans l’efficacité de ses équipements (éclairages un peu faibles, porte-bagages en option, absence d’antivol de cadre…). L’écosystème est, lui, au niveau attendu pour peu que l’on y mettre le prix (assurance, entretien…). Un beau et bon vélo électrique pour la ville.

Présentation

Lancée en 2017, la marque Cowboy a su se faire un nom parmi les néo-fabricants de vélos positionnés sur le segment urbain, électrique, design et connecté. Depuis, l’entreprise belge a enrichi sa gamme, avec le lancement du Cruiser mais aussi – plus récemment – du Cross.

Pour notre premier test de vélo Cowboy sur Transition Vélo, nous avons choisi de nous concentrer sur le Cruiser ST, l’une des meilleures ventes de la marque. Il s’agit d’un vélo offrant une position de conduite plus détendue que le Cowboy Classic, avec un cintre légèrement incurvé et un cadre ouvert. Avec sa transmission monovitesse à courroie et son design minimaliste, il mise sur la simplicité.

Vendu à partir de 2700 € (en coloris noir, sans pack performance ni connectivité améliorée), le Cruiser ST toutes options voit sa note grimper à 3300 €. A la commande, il est en effet possible d’ajouter AdaptivePower, une batterie améliorée et la charge induction pour smartphone avec le pack « performance » (+ 300 €), ainsi que Cowboy Connect pour bénéficier des alertes prédictives, de fonctions fitness et de la détection de chute en plus de la connectivité de base (+ 200 €). Quant aux coloris lavande, argile et sable, ils ne sont disponibles qu’avec le pack performance et coûtent une centaine d’euros supplémentaires.

Ce Cowboy Cruiser ST est en concurrence avec des vélos comme le Angell Rapide + (2750 €), iWeech Promenade (2500 €), Vefaa (2500 €) ou encore le Tenways CGO 800S (1900 €), voire le Turbo Como 3.0 IGH de Specialized (3000 €) si l’on va chercher des vélos de ville à courroie très bien équipés sur le haut de gamme.

Confort

Comme tous les vélos Cowboy, le Cruiser ST n’est disponible qu’en une seule taille de cadre devant convenir aux cyclistes mesurant entre 165 et 190 cm. Le vélo est minimaliste. Les câbles sont acheminés en interne, les garde-boues sont profilés, le cintre ne laisse rien apparaître à part les freins et la sonnette (en plus du support Quad Lock).

Les finitions du cadre sont soignées, les équipements jouent la carte de la sobriété, l’intégration des éclairages est très propre, transmission et moteur s’intègrent en toute discrétion tandis que la peinture mate finit parfaitement le style de ce vélo à la fois moderne et intemporel. En tout cas, il ne se démode pas, comme cela a pu être le cas pour d’autres vélos urbains dont le design a vite lassé.

Un look qui, on va le voir, correspond parfaitement à l’idéologie de ce vélo qui mise sur un fonctionnement basique mais efficace. En cadre ouvert, le vélo perd un peu en rigidité – et donc en dynamisme – mais cette version ST inspire néanmoins la solidité et est parfaitement adaptée à un usage en ville où l’on va multiplier les arrêts. Enfourcher le vélo est facilité par un enjambement très bas (environ 40 cm), ce qui est appréciable si l’on porte une jupe ou un pantalon serré.

Nous avons par ailleurs été très agréablement surpris par le confort de ce Cruiser ST compte tenu de ses caractéristiques. C’est un vélo entièrement rigide à cadre et fourche aluminium et nous ne nous attendions pas à profiter d’autant de moelleux sur sa selle. Pour autant, on y trouve assez instinctivement une position relax et agréable. La tige de selle n’est pas amortie mais le confort de la selle en elle-même est excellent. Le guidon ne profite d’aucun amortisseur mais les poignées en caoutchouc confèrent une bonne prise en main et restent très agréables même sur de longs trajets.

Le cadre et la fourche parviennent à absorber en partie les vibrations tandis que les pneus terminent d’ajouter du confort. Il s’agit de pneus ballons de 27,5″ qui font 47 mm de large et présentent donc un bon volume d’air sans jouer la démesure non plus. Des pneus profilés pour la route – et uniquement la route – que l’on peut se contenter de gonfler à une pression assez basse pour améliorer la filtration tout en ménageant la précision de conduite et le rendement.

Après plusieurs essais, pour un pilote d’environ 80 kg, nous avons trouvé un excellent compromis autour des 2,5 bars de pression. On a alors profité d’un vélo qui reste réactif et précis, et devient vraiment plus confortable. S’il nous est impossible de juger la durabilité ou la résistance aux crevaisons de ces pneus (nous n’avons pas crevé durant cet essai), on peut néanmoins affirmer qu’ils sont un peu moins à leur aise sur sol humide que sur le sec, notamment en ce qui concerne le freinage.

Performances

Notre version de test du Cruiser ST dispose du pack « perfomance ». Le vélo peut ainsi compter sur l’AdaptivePower, une technologie intelligente basée sur un capteur de puissance au niveau du pédalier. Pour schématiser, le vélo va apprendre à connaître son pilote, en se fiant par exemple à sa cadence de pédalage habituelle, et utiliser des algorithmes pour repérer les difficultés afin d’ajuster la puissance fournie par le moteur en fonction des conditions (montée, vent, etc.).

Ainsi, le vélo n’a beau proposer qu’une seule vitesse et s’appuyer sur un simple moteur moyeu arrière qui développe 45 Nm de couple, il parvient à proposer un comportement intéressant et assez dynamique malgré tout. Il est aidé par son poids relativement contenu (nous l’avons pesé à 20,1 kg), un angle de fourche qui favorise la maniabilité (aidée par un cintre qui bien que légèrement courbé reste assez court), un empattement maîtrisé (le vélo mesure 179 cm d’une roue à une autre) et l’apport du moteur qui, évidemment, allège beaucoup la conduite. Si bien que le compromis trouvé entre position détendue et plaisir pris en roulant, sur un vélo aussi simple, est très plaisant.

Petite précision, si tous les vélos Cowboy utilisent une courroie en carbone à la place de la chaîne et ne proposent qu’un seul développement, tous ne proposent pas le même braquet. Ainsi, le Cowboy Cruiser dispose d’un plateau de 60 et d’un pignon 20 dents, ramené à 57/21 sur cette version ST. Ce dernier adopte d’ailleurs le plus petit braquet de toute la gamme. Là encore, cela participe sans doute à cette sensation de dynamisme avec un pédalage qui se fait un poil plus en cadence, même si en contrepartie on mouline plus vite (on arrêtera naturellement de pédaler passé les 30 km/h en descente). Reste qu’à la vitesse à laquelle nous porte très efficacement l’assistance, soit autour des 25 km/h de croisière, ce développement est très agréable.

Si les variations du moteur permettent d’apporter de la polyvalence au vélo, il reste néanmoins limité à un programme citadin par son approche (monovitesse, géométrie, fourche rigide, etc.). Ce qui ne veut pas dire qu’il ne sera pas capable d’assurer quelques balades sur des sentiers damés.

On l’a déjà dit et répété, Cowboy mise sur la facilité d’accès. La marque entend ainsi participer à démocratiser l’usage du vélo, y compris auprès d’un public qui n’y connait pas grand chose et souhaite juste s’équiper d’un vélo au fonctionnement très simple. Le choix de la courroie (transmission sans entretien ni salissure) y participe tout comme la présence de seulement deux modes d’assistance au niveau du moteur.

Au guidon du Cowboy Cruiser ST, nous avons donc le choix de rouler sans l’assistance, en mode Eco ou en mode AdaptivePower, c’est tout. Le mode « off » sera réservé aux fins de trajets sur lesquels on viendrait à manquer de jus ou aux petites sessions sportives, même si le style de vélo ne s’y prête pas forcément. Il est bien sûr possible de rouler sur le vélo sans l’assistance, mais ce n’est ni efficace, ni agréable, compte tenu de son poids, de la position qu’on a dessus et du développement unique peu adapté.

Le mode à privilégier est bien évidemment le mode AdaptivePower. C’est celui qui offre le meilleur agrément, les meilleures sensations, l’assistance la plus efficace et naturelle, bref, LE mode électrique adapté au vélo. Il n’a aucun mal à nous propulser à 25 km/h après un arrêt en quelques tours de pédales, assure des relances efficaces après un coup de frein et n’a pas peur des côtes, même assez prononcées. Il maintient en effet les 17/18 km/h même sur de longs tronçons entre 8 et 10 % pour peu que l’on y mette un minimum de jambes.

Le mode Eco porte, lui, très bien son nom. On l’activera surtout si l’on pense devoir économiser sa batterie au cours d’une journée relativement chargée en déplacements. Sur le plat, il permet de stabiliser le vélo autour des 22 km/h sans que l’on ait à faire trop d’efforts, ce qui reste relativement correct sachant que le gain sur la prolongation de l’autonomie est réel. En revanche, on voit bien que le vélo perd pas mal de son allant et de sa vivacité dans ce mode, qui rend les montées clairement plus difficiles, nous invitant à repasser sur le mode supérieur le temps d’avaler ces bosses.

Bonus, il est possible de désactiver l’AdaptivePower dans l’application afin d’utiliser l’ancien mode d’assistance de Cowboy. Nous avons trouvé ce dernier assez punchy mais moins naturel et finalement moins plaisant que le mode « intelligent ».

Un mot enfin sur le freinage, assuré par des freins hydrauliques Tektro à deux pistons, mordant des disques de 160 mm. Un ensemble classique et rassurant, permettant de profiter d’un freinage facile à doser et progressif, mais également efficace sur les arrêts d’urgence, permettant d’arrêter sans problème le vélo en moins de 3 mètres lorsqu’il est lancé à 25 km/h. Notons que l’intégration des freins bénéficie, là encore, d’un soin tout particulier en matière de design et que ce système a le bon goût d’utiliser des plaquettes Shimano B05S que l’on trouve facilement. C’est toujours un bon point de savoir qu’on ne va pas galérer à remplacer ses plaquettes.

Equipement

Ils ont beau être modernes, connectés et électriques, les vélos Cowboy sont adeptes du minimalisme et ce Cruiser ST n’échappe pas à la règle. Ainsi, on y trouve aucune commande pour la motorisation et aucun afficheur, à l’exception de petites diodes qui servent à indiquer le niveau de batterie. Ce parti pris simplifie l’expérience et finit d’affirmer le côté sans prise de tête du vélo.

Toute la partie électrique se gère et se paramètre à partir de l’application sur son téléphone, qui se trouve être là aussi un modèle de simplicité sans pour autant faire l’impasse sur des fonctions importantes (voir encadré).

En ce qui concerne l’équipement, nous allons voir que l’esthétisme prime malheureusement sur la pratique à certains endroits et que l’on était en droit d’attendre plus sur certains points d’un tel vélo premium.

D’abord, le vélo est livré avec des garde-boues enveloppants très esthétiques. Dommage, celui présent sur la roue avant ne descend pas assez bas pour épargner les chaussures des projections d’eau lorsque l’on pédale sous la pluie.

La béquille métallique, solide et bien pratique.

A l’arrière, pas de porte-bagage de série. Pour porter ses sacoches, il faudra repasser à la caisse et dépenser 79 €. Ce porte-bagage optionnel – qui nécessite de remplacer le garde-boue arrière – supporte une charge de 27 kg. La transmission n’est pas protégée (mais on l’a dit, la courroie reste propre), tandis que le vélo est livré avec une béquille centrale.

Les éclairages intégrés sont jolis mais leur efficacité n’est pas parfaite. En effet, si le feu arrière – intégré en haut de la batterie – permet bien d’améliorer la visibilité du cycliste et a l’avantage de gérer la fonction feu stop, il est en partie caché par la roue arrière et sera un peu plus masqué encore si l’on installe le porte-bagages.

Le phare avant, lui, est trop timide pour être réellement utilisable dès que la nuit tombe. Ca passe dans les zones urbaines profitant d’un bon éclairage public (ce qui correspond tout de même au terrain de jeu du vélo), mais dès que l’on arrive sur des axes peu ou pas éclairés, cet éclairage avant manque de puissance à notre gout. Cowboy assume, évoquant un phare qui est davantage là pour être vu que pour voir dans la nuit.

Si le minimalisme a des bienfaits évidents en termes de style, on regrette l’absence d’œillets sur le vélo pour venir fixer un accessoire, y compris au niveau des haubans, ce qui aurait pourtant permis l’installation d’un antivol fer à cheval pour la roue arrière. La batterie trouvant place derrière le tube de selle, le tube diagonal reste néanmoins assez fin ce qui facilite la mise en place d’un antivol à ce niveau.

L’application Cowboy : un gros point fort !

Les Cowboy sont des vélos connectés qui fonctionnent avec une application dédiée, sur Android ou iOS. Application que nous avions déjà essayée mais qui, une fois de plus durant ce test, aura su nous convaincre. En effet, cette app très instinctive à l’interface réussie facilite l’utilisation du vélo tout en donnant accès à de nombreuses informations et paramètres.

Elle permet de déverrouiller/verrouiller le vélo, connaître le niveau de batterie restant, consulter ses activités, paramétrer le vélo ou encore accéder à la géolocalisation Find My Bike (qui est une fonction gratuite chez Cowboy). Si certaines fonctions sont réservées aux utilisateurs ayant souscrit l’assurance (159€ par an), comme les Theft Alerts qui préviennent en cas de mouvement suspect du vélo, l’application est malgré tout extrêmement complète.

Les données consultables liées à ses déplacements sont nombreuses, la navigation basée sur Google Maps est très pratique, la détection de chute permet de prévenir automatiquement un proche en cas d’accident, on allume/éteint les feux et on change de mode d’assistance en un clic, bref, c’est bien pensé et ça fonctionne comme attendu.

A noter que si le vélo présente un support Quad Lock au niveau de sa potence pour venir fixer son téléphone (qui peut bénéficier ici de la charge à induction), il n’est pas obligatoire de l’y fixer pour l’utiliser. En effet, on peut démarrer le vélo sans son téléphone – mais avec la clé de la batterie qu’il suffit de réenclencher. On peut aussi activer (indépendamment l’une de l’autre) les fonctions Auto Unlock et Auto Lock qui vont déverrouiller/verrouiller automatiquement le vélo lorsque l’on s’en approche ou que l’on s’en éloigne. Enfin, il est tout à fait possible d’allumer le vélo avec son téléphone et glisser ce dernier dans sa poche avant de filer.

Signalons que comme sur des vélos de type Angell, VanMoof, etc., les vélos Cowboy sont à considérer dans un écosystème fermé. Pour l’entretien, les réparations, le changement de certaines pièces, il faudra ainsi passer par Cowboy Care et les ateliers partenaires (le réseau s’est bien enrichi ces derniers temps, surtout dans les grandes villes françaises). Un abonnement peut d’ailleurs être souscrit pour 20 € afin que tout soit pris en charge, y compris l’intervention en cas de crevaison et les pièces d’usure (pneus, plaquettes…). Il est même possible de réserver des interventions sur le lieu de son choix.

L’assurance contre le vol (159€ par an) est peut-être encore plus intéressante puisqu’elle garantit le remboursement du vélo à son prix d’achat sans décote les trois premières années, et avec une décote jusqu’à cinq ans.

Autonomie et charge

La version de base du Cowboy Cruiser (et Cruiser ST) est livrée avec une batterie d’une capacité de 360 Wh et un chargeur 3 A. Dès que l’on opte pour le pack performance, comme sur notre vélo de test, on profite d’un chargeur plus rapide (4 A) et d’une batterie dont la capacité est portée à 418 Wh.

Cette dernière, positionnée derrière le tube de selle, est bien évidemment protégée par une serrure à clé. Elle est amovible et peut être transportée avec soi pour limiter le risque de vol mais aussi tout simplement pour être rechargée. Le vélo ne présente pas de connecteur et ne peut pas être directement branché à une prise de courant pour la charge.

Cette batterie est plutôt longue et ne présente pas de poignée ou de sangle, c’est dommage. Son poids est relativement classique puisque nous l’avons pesée à 2,4 kg.

Une batterie avec laquelle il est possible de parcourir un peu plus de 50 km en ville sur une charge, ce qui est vraiment pas mal vue la quantité d’énergie embarquée. En effet, sur notre première charge, nous avons pu rouler exclusivement en mode AdaptivePower quelque 52 km. Des trajets effectués en région parisienne avec peu de dénivelé, et sans utiliser la charge sans fil du téléphone. Bon point, le système de prévision de l’autonomie restante est relativement fiable, ce qui peut éviter les mauvaises surprise.

Sur une autre charge durant laquelle nous avons fait pas mal de route en mode éco, nous avons été en mesure de pousser l’autonomie jusqu’à près de 70 km. En n’utilisant que ce mode, ce cap doit pouvoir être franchi sans trop de difficulté. La marque indique pour sa part une autonomie pouvant monter jusqu’à 90 km dans les conditions les plus favorables.

Quant à la recharge, avec le chargeur rapide 4 A, il faut compter environ 3 heures pour retrouver une batterie pleine à 100 %. C’est assez rapide et cela permet d’envisager de réaliser des charges complètes au bureau ou d’appoint le temps d’une réunion ou d’un déjeuner.

Conclusion

Pour

  • Design minimaliste réussi.
  • Vélo moderne et connecté très simple à utiliser.
  • Confort très correct.
  • Assistance électrique réactive et dynamique.
  • Maniable et plaisant à piloter.
  • Entretien et durabilité de la courroie.
  • Bonne autonomie.

Contre

  • Garde-boue avant trop court.
  • Porte-bagages en option.
  • Eclairages perfectibles.
  • Absence d'œillets.
  • Batterie encombrante.

Note

7

Le Cowboy Cruiser ST est un vélo sur lequel nous avons apprécié nous déplacer. Très simple à prendre en main, il reste fun à rouler malgré son accessibilité, surtout en ville où l'on peut mettre à profit sa bonne maniabilité et le dynamisme que lui confère son assistance électrique. Son application est un point fort car tout y est très clair et fonctionne comme attendu. Joli, très épuré, minimaliste, c'est un compagnon agréable pour les déplacements quotidiens en ville, y compris pour les cyclistes débutants. Dommage qu'il soit assez cher (encore plus avec ses options), et que ce positionnement premium ne se retrouve pas forcément dans l'efficacité de ses équipements (éclairages un peu faibles, porte-bagages en option, absence d'antivol de cadre...). L'écosystème est, lui, au niveau attendu pour peu que l'on y mettre le prix (assurance, entretien...). Un beau et bon vélo électrique pour la ville.

Confort
7
Performances
7
Equipement
6
Autonomie
7.5

Caractéristiques

  • Prix
    2700 €
  • Cadre

    Ouvert

  • Matériau cadre
    Aluminium
  • Fourche

    Aluminium

  • Position moteur
    Moyeu arrière
  • Couple moteur
    45 Nm
  • Capacité batterie
    360 Wh
  • Diamètre de roue
    28" (700)
  • Type de freins
    Disque hydrauliques
  • Vitesses
    1
  • Chaîne

    Courroie Gates carbone

  • Tige de selle suspendue
    Non
  • Garde-boue
    Oui
  • Antivol de cadre
    Non
  • Porte-bagage
    Non
  • Poids
    19.2 kg

En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.