Test – Decathlon Rockrider E-ACTV 100 : un vélo électrique polyvalent à 999 €
Fini le Riverside 100 E, Decathlon modernise son vélo de randonnée électrique de base avec ce Rockrider E-ACTV 100. Un vélo vendu 1 000 € bénéficiant d’une présentation attractive à ce prix. Qu’en est-il une fois sur la selle ? Réponse dans ce test.
Pour
- Design réussi pour un vélo d’entrée de gamme.
- Batterie pratique.
- Fourche agréable.
- Confort global honnête.
Contre
- Puissance moteur limitée.
- Assistance pas assez progressive.
- Effet mobylette en mode Boost.
- Commande moteur ultra basique.
- Transmission bas de gamme et peu polyvalente.
- Rayon d’action contraint par l’autonomie.
- Freinage mollasson.
Pour un vélo électrique à 1000 €, le Rockrider E-ACTV 100 a de solides arguments du côté de la présentation et du confort. Forcément, sans capteur de couple, avec un moteur de puissance modeste et une transmission limitée, les performances et les capacités du vélo s’en ressentent. Il s’adresse clairement à des cyclistes débutants visant des déplacements urbains assez courts ou des balades sur pistes cyclables et chemins stabilisés n’excédant pas deux heures. A partir du moment où l’on a intégré ces limites, il y a quand même moyen de se faire plaisir avec ce vélo, surtout si l’on habite une région peu vallonée.
Présentation
Oubliez les vélos électriques Riverside E, synonymes de randonnée. Decathlon a reconstruit ses gammes et fait entrer ce type de vélos sous la bannière Rockrider, dans une nouvelle ligne E-ACTV.

Après avoir testé les Rockrider E-ACTV 500 et 900, respectivement positionnés sur le milieu de gamme (1999 €) et le haut de gamme (2699 €) chez Decathlon, nous testons ici le Rockrider E-ACTV 100. C’est le remplaçant du Riverside 100 E dont il conserve le prix de vente très agressif : 999 €.
Forcément, à un tel prix, Decathlon a dû opérer de nombreux choix pour proposer un vélo électrique moderne et fonctionnel. On va donc y retrouver des composants d’entrée de gamme et un moteur arrière sans capteur de couple.
Son principal concurrent sur le marché est le Nakamura Crossover Native S LTD, vendu par Intersport au prix de 1199 €. Les deux vélos partagent des caractéristiques proches, notamment sur la partie électrique. Le Nakamura, assemblé en France, a l’avantage d’avoir une vitesse de plus (7) et d’être livré avec porte-bagages et béquille. Le Rockrider E-ACTV 100 a, lui, l’avantage du prix.

C’est un vélo que Decathlon destine aussi bien aux vélotafeurs qu’aux cyclistes adeptes des balades tous chemins, la marque insistant sur le fait que malgré son positionnement tarifaire agressif, le vélo a passé tous les tests internes qui valident la possibilité de l’utiliser au quotidien. Pour cet essai, nous l’avons donc utilisé de manière mixte, pour les déplacements en ville mais également lors de balades plus champêtres.
Le Rockrider E-ACTV 100 est disponible en deux tailles (S/M et L/XL) pour convenir aux cyclistes mesurant entre 150 et 190 cm. Deux types de cadres différents sont proposés : ouvert en blanc et fermé en gris.
Confort
Comme vous le voyez, c’est la version à cadre ouvert du Rockrider E-ACTV 100 que nous avons testée. Un cadre type « col de cygne » qui abaisse l’enjambement à 52 cm environ et facilite la mise en selle, sans obliger à passer la jambe par dessus. Que l’on manque de souplesse ou que l’on soit en jupe ou en pantalon serré, c’est toujours pratique.

Pour un vélo vendu 1 000 €, il a droit à une présentation relativement soignée. Ses lignes sont en tout cas beaucoup plus modernes et travaillées que son prédécesseur à batterie visible. Surtout, Decathlon lui applique les codes esthétiques de sa nouvelle gamme, ce qui n’est pas pour déplaire. Le passage des câbles et gaines est semi intégré en passant par le tube diagonal, ce qui permet d’épurer un peu la partie centrale du vélo.
Sur le bas du cadre, on trouve une petite poignée qui – si elle permet de soulever le vélo plus facilement – est surtout un renfort pour améliorer la rigidité du cadre. En effet, les Rockrider E-ACTV 500 et 900 ont droit à un cadre aluminium moulé par gravité, un procédé qui permet de jouer avec les épaisseurs de matière pour rigidifier les parties qui en ont besoin. Ici, pour des questions de coûts, c’est l’hydroformage qui a été retenu. La rigidité obtenue sur le tube diagonale étant insuffisante, Decathlon a pris soin d’améliorer le résultat avec cette pièce supplémentaire.

Résultat, le vélo – que nous n’avons pas épargné – nous a rassuré sur sa robustesse durant ce test et si la version à cadre haut conserve sans doute un petit avantage sur la rigidité, cela reste très correct sur cette version à cadre bas. On reste de toute manière sur un vélo à assistance avec un moteur qui gomme les pertes de rendement, orienté très grand public.
Le seul réglage disponible est la position de la selle, la potence n’étant pas réglable (ni en hauteur, ni en inclinaison). En fonction de sa taille, on aura donc une position plus ou moins droite sur le vélo, semi-sportive pour les plus grands.

Le cintre de 650 mm de large, réhaussé de 25 mm, se termine par deux poignées ergonomiques en caoutchouc avec un petit repose paume. Le grip est correct. C’est moins stylé que les poignées en liège des modèles supérieurs, mais peut être plus efficace côté confort. On a également une bonne prise en main de la direction.

Les pédales plates à picots en aluminium des E-ACTV 500 et 900 laissent ici place à des modèles en résine plus basiques. La surface d’appui est plus limitée mais l’accroche, en baskets à semelles souples, reste bonne.

Dernier point de contact : la selle. Un modèle basique mais, une fois encore, efficace. Son échancrure reste marquée et sa largeur modérée, ce qui limite les frictions au pédalage. En usage vélotaf, on aurait aimé davantage de confort et d’assise, mais pour les randonnées c’est plutôt adapté, sachant que le rembourrage est assez moelleux pour rester confortable sur des sorties de 2 heures environ.

Vient enfin la capacité de ce vélo à filtrer bosses et aspérités afin d’améliorer son confort. De ce point de vue là, on pouvait craindre que le cadre aluminium n’arrange pas les choses. Mais dans les faits, c’est une bonne surprise.

D’abord parce que la fourche suspendue sur 60 mm de débattement offre une souplesse bienvenue, avec une réactivité qui est loin d’être mauvaise pour un vélo d’entrée de gamme. Mais aussi parce que les pneus (toujours marqués Riverside) de 47 mm de section (1,85″) peuvent être gonflés avec une pression plus basse pour gagner en confort.

Alors bien sûr, dès que l’on va s’amuser à descendre des marches, faire un petit saut ou arpenter des chemins jonchés de racines plus cassants, on arrive très vite aux limites de cette fourche. Mais pour l’usage prévu : la ville et les chemins stabilisés, ça fait amplement le job et ça apporte un surplus de confort bienvenue. Notons que les pneus perdent leurs flancs réfléchissants, mais conservent a priori une carcasse anti-crevaison. Nous ne saurions nous prononcer sur l’efficacité de cette dernière, mais n’avons pas crevé durant notre essai.
Performances
Pour motoriser son vélo, Decathlon a fait le choix de rester sur un moteur roue arrière développant jusqu’à 45 Nm de couple. Une puissance suffisante dans des régions peu vallonées pour emmener ce vélo qui, malgré son allure très simple, pèse tout de même 22,3 kg en taille M (nous l’avons pesé à 23,4 kg).

Cette faible puissance ne se ressent évidemment pas sur le plat, mais dès que le dénivelé s’intensifie. Trois modes d’assistance sont proposés. Le mode Eco, le plus faible et économe en énergie, permet de compenser le surpoids du vélo et limite sa vitesse de croisière autour des 20 km/h si l’on ne veut pas s’épuiser sur les pédales.

Le mode Boost, quant à lui, permet au vélo d’évoluer autour des 25 km/h (limite de l’assistance électrique) sans effort. Il donne une belle vivacité au vélo sur le plat et aide bien au démarrage. Pour autant, il peine en côte. Sur des pentes assez longues entre 7 et 10 %, il faut se contenter d’une vitesse de 15/16 km/h au mieux. Bien qu’agréable pour évoluer en ville et limiter son effort, le vélo a un inconvénient dans ce mode : lancé, à 25 km/h, le fonctionnement intermittent de son moteur peut être agaçant. On le sent se mettre en route et se couper par alternance toutes les quelques secondes.
Entre les deux, le mode Normal est certainement le plus équilibré et agréable à utiliser sur ce Rockrider E-ACTV 100. En effet, il permet de bénéficier d’une aide confortable au pédalage sans trop ressentir l’effet mobylette du mode Boost.

Car il faut savoir que ce vélo est dénué de capteur de couple. Il fonctionne à l’aide d’un simple capteur de rotation et si Decathlon a fait l’effort d’intégrer 24 aimants au système pour adoucir le fonctionnement de l’assistance, dans les faits, il suffit de faire semblant de pédaler pour être assisté. Le moteur manque ainsi de progressivité et il n’est pas rare d’être propulsé un peu vite ou de ne pas réussir à caler sa vitesse sur celle du cycliste qui nous précède sur une piste cyclable.
En restant sur le mode Normal, cet effet est en partie gommé et l’on bénéficie tout de même d’une assistance correcte. On évolue globalement à 22/23 km/h de moyenne, on passe en Boost quand on a une montée à franchir, et on tire le meilleur de ce que peut offrir ce vélo en termes de sensations et d’autonomie. Rien n’empêche de mettre un peu de Watts avec les jambes pour réaliser un dépassement ou se propulser plus vite qu’à l’accoutumée en relance.

Il faut toutefois savoir qu’emmener ce vélo au-delà des 25 km/h nécessite un surplus d’énergie assez important, que nos jambes de cyclistes amateurs ne peuvent fournir que de manière sporadique.

Si, en ville et sur le plat, les 6 vitesses s’avèrent globalement suffisantes, dès que l’on va vouloir s’attaquer à des balades un peu plus ambitieuses, on se rendra compte du manque de polyvalence de cette transmission basique.
Au pédalier 44 dents est associée une cassette 14-28, avec un dérailleur Btwin. Sur 6 vitesses, il y a parfois de gros trous entre deux développements et si le petit pignon sera suffisant pour ne pas mouliner sur le plat ou en accompagnant le vélo en début de descente, de l’autre côté de la cassette on sera vite limité dans les portions les plus difficiles, même avec l’assistance à bloc. Cela encourage à rester sur des tronçons assez sages.

Les vitesses se passent à l’aide d’une poignée tournante qui ne pose pas de problème particulier, même s’il faut bien relâcher le pédalage pour favoriser des changements de rapport qui ne manqueront pas de craquer sinon.
Enfin, le freinage à disque (160 mm) avec des commandes à câbles a des performances moyennes. On regrette les freins hydrauliques des modèles supérieurs. Certes, on peut correctement doser ses freinages avec une progressivité qui reste de mise, mais on n’obtient pas vraiment plus de mordant qu’avec des freins à patins. Il suffit de tirer à bloc sur le levier de frein avant lancé à pleine vitesse pour se rendre compte du manque de puissance (on est très loin de partir en soleil…).


Malgré ça, on apprend à anticiper et il reste possible d’arrêter le vélo en moins de 3 mètres lancé à 25 km/h en freinant au max. Sur le sec, les pneus tous chemins rainurés se comportent pas mal, mais leur grip est un peu moins rassurant sur chaussée humide. En balade, les chemins de graviers bien entretenus sont leur allié, à l’inverse des sections boueuses qui montrent très vite leurs limites.
S’il reste possible de pousser l’E-ACTV 100 sur des chemins plus tortueux en forêt, le vélo manque de dynamisme tout en se prêtant au jeu, devenant tout de suite beaucoup plus poussif quand cela se met à grimper. Encore une fois, cela invite à rester dans le programme plutôt tranquille de ce vélo.
Equipement
Du côté de la commande moteur, on retrouve la même que sur le Riverside 100 E, à savoir un boîtier sans écran extrêmement basique… mais fonctionnel. Allumage du moteur, gestion de l’éclairage, changement de mode d’assistance et estimation du niveau de batterie restant via 5 petites leds. C’est tout.

Pour aller plus loin, il faudra en passer par l’application Decathlon Ride. Au moment du test, le Rockrider E-ACTV 100 n’était pas encore dans la liste des vélos compatibles. Il nous a suffi de réaliser l’appairage en Bluetooth en choisissant le Riverside 100 E et cela a fonctionné.
Cette application permet de consulter quelques informations basiques en temps réel sur son activité en cours (niveau d’assistance sélectionné, vitesse instantanée, statut de l’éclairage, autonomie restante estimée, etc.). Elle permet également, en fin d’activité, d’obtenir davantage de données sur sa balade et voir s’afficher son parcours sur une carte.

En revanche, l’application Decathlon Ride ne permet pas encore de profiter d’une fonction navigation. C’est toutefois prévu. En effet, un écran nous indique qu’une nouvelle version de l’app est en préparation et qu’elle offrira la navigation GPS avec la possibilité de charger des traces GPX. Pour l’heure, chacun sortira son application GPS vélo préférée.

Ce qui est sympa, c’est que Decathlon a fait l’effort de proposer un support smartphone SP Connect sur la potence de son vélo, permettant d’y fixer facilement son téléphone (avec une coque dédiée, une housse ou une pince universelle).
Côté cycles, l’équipement fourni sur cet E-ACTV 100 reste assez limité. Les garde-boues enveloppants en plastique font relativement bien le job même si celui de la roue avant ne descend pas assez bas pour parfaitement protéger les chaussures des projections. Le pédalier est protégé par un petit carter rond. On dispose de deux œillets de fixation pour un accessoire sur le tube diagonal.

En revanche, ce modèle est dénué de béquille et de porte-bagages. Un choix fait par Decathlon pour rester sous la barre psychologique des 1 000 €. Notons toutefois qu’à l’achat du vélo, un kit à 49 € intégrant ces deux accessoires sera proposé. Nul doute qu’il sera acheté par la plupart des clients, portant le prix du vélo à 1 048 €. Deux accessoires qui seront quasiment indispensables pour celles et ceux qui envisagent une utilisation quotidienne du E-ACTV 100, facilitant son stationnement et permettant de doper ses capacités utilitaires à l’aide de sacoches par exemple. Précisons que le renfort présent sur le bas du cadre est aussi pratique pour attacher son vélo.


Point positif pour un vélo à bas prix, l’éclairage est tout de même connecté à la batterie du vélo, ce qui évite d’avoir à les recharger. En revanche, si le feu arrière monté sur le garde-boue améliore la visibilité du cycliste, la puissance du phare avant montre ses limites dès lors que l’on quitte les zones bien éclairées. Son cône lumineux est assez large mais la puissance de 20 lux insuffisante dans les zones sombres.
Autonomie et charge
Le Rockrider E-ACTV 100 est équipé d’une batterie amovible proposant une capacité de 356 Wh. Cette dernière a l’avantage d’être bien intégrée sur la gauche du cadre, et protégée par une serrure à clé.

Mesurant 36 cm de long et pesant 2,6 kg, cette « petite » batterie s’extraie très facilement de son logement et a le gros avantage d’être munie d’une poignée rétractable qui facilite son transport. Pour un vélo à 1 000 €, l’intégration – héritée de modèles plus haut de gamme – est un vrai bonheur.
Notons simplement que contrairement aux Rockrider E-ACTV de gamme supérieure, on ne trouve pas de quoi brancher directement le vélo au secteur avec ce modèle. Il faudra donc retirer la batterie chaque fois que l’on voudra le charger.

Livrée avec un chargeur 2A, cette batterie se charge de 0 à 100 % en 4h30 environ. Mais combien de kilomètres permet-elle de parcourir ?
Comme toujours, rappelons que les tests d’autonomie des vélos électriques dépendent d’une myriade de paramètres qui vont du poids et de la forme du pilote aux modes d’assistance utilisés, en passant par la topographie de la région ou encore la météo (température, vent…).
En région parisienne et par temps froid, avec un pilote de 85 kg sur des parcours relativement plats, nous avons été en mesure de parcourir 35 km avant que l’assistance ne se coupe brutalement en restant exclusivement dans le mode Boost, qui est le plus puissant et le plus énergivore.
Voilà qui donne une idée de l’autonomie du vélo, sachant que sur un second cycle de charge, en restant la quasi totalité du temps en mode Normal (2 sur 3), nous avons pu légèrement dépasser les 45 km. Si l’on a 10 à 15 km à faire matin et soir pour se rendre au travail, ça passera. Quant aux balades du WE, elles pourront durer environ 2 heures. Au-delà, on touchera aux limites de ce vélo électrique.

A noter enfin qu’il vaut mieux rester précautionneux vis-à-vis des indications d’autonomie restante proposées par l’application Decathlon Ride, qui ont tendance à être surévaluées. Mieux vaudra se fier à l’appréciation du niveau de batterie restante exprimé en pourcentages pour s’assurer d’avoir assez de jus pour rentrer à bon port.
Conclusion
Pour
- Design réussi pour un vélo d'entrée de gamme.
- Batterie pratique.
- Fourche agréable.
- Confort global honnête.
Contre
- Puissance moteur limitée.
- Assistance pas assez progressive.
- Effet mobylette en mode Boost.
- Commande moteur ultra basique.
- Transmission bas de gamme et peu polyvalente.
- Rayon d'action contraint par l'autonomie.
- Freinage mollasson.
Note
Pour un vélo électrique à 1000 €, le Rockrider E-ACTV 100 a de solides arguments du côté de la présentation et du confort. Forcément, sans capteur de couple, avec un moteur de puissance modeste et une transmission limitée, les performances et les capacités du vélo s'en ressentent. Il s'adresse clairement à des cyclistes débutants visant des déplacements urbains assez courts ou des balades sur pistes cyclables et chemins stabilisés n'excédant pas deux heures. A partir du moment où l'on a intégré ces limites, il y a quand même moyen de se faire plaisir avec ce vélo, surtout si l'on habite une région peu vallonée.
Confort
Performances
Equipement
Autonomie
Caractéristiques
-
Prix999 €
-
Matériau cadreAluminium
-
Fourche
Suspendue, 60 mm de débattement.
-
Position moteurMoyeu arrière
-
Couple moteur42 Nm
-
Capacité batterie356 Wh
-
Diamètre de roue28" (700)
-
Type de freinsDisque mécaniques
-
Freins
Tektro 2 pistons, disques 160 mm
-
Plateaux
44 dents
-
Vitesses6
-
Dérailleur arrière
Btwin
-
Cassette
14-28 dents
-
Levier de vitesses
Poignée tournante
-
Tige de selle suspendueNon
-
Potence
Avec support SP Connect
-
Garde-boueOui
-
Antivol de cadreNon
-
Porte-bagageNon
-
Poids23 kg
-
Eclairage arrière
Oui
-
Eclairage avant
Oui
-
TransmissionChaîne
En banlieue parisienne, ce quadra père de 2 enfants pratique le vélo au quotidien de manière (assez) sportive, sur route et en dehors. A des envies de longues randonnées à la découverte de nouveaux paysages.